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  • Les professionnels RH, grands gagnants des NAO 2024 ?

    A la une (brève)actuEL RHFormationSelon une nouvelle enquête de rémunération du cabinet Robert Walters, publiée hier, la fonction ressources humaines semble avoir tiré son épingle du jeu dans les NAO 2024, avec 73 % de cadres augmentés, suivies par l’ingénierie (62 %) et les professionnels des achats & supply chain (57 %). Le cabinet rappelle qu’il avait pointé, début 2024, les difficultés rencontrées par ces professionnels au cours de ces dernières années : plus de la moitié d’entre eux déclaraient vouloir changer d’emploi en 2024. "Les entreprises semblent avoir pris conscience du rôle stratégique de la fonction RH en faisant des efforts pour la valoriser, et cela passe entre autres par des augmentations", explique Coralie Rachet, directrice générale du cabinet Robert Walters. Cette enquête a été réalisée auprès de plus de 500 cadres en France, au cours du premier semestre 2024. Visuel réduit: Visibilite: privéSignature: Anne BarietSupports de diffusion: ActuEL RHPortail RH26/07/2024Cacher le visuel principal ?: NonType de produit: actuelProduit d'origine: actuEL RHAuteur extérieur: Application immédiate: 

  • CPF : baisse de 31 % de signalements de fraude en 2023

    A la une (brève)actuEL RHFormationDans son rapport d'activité 2023 (qui intègre le premier semestre 2024), la Direction des politiques sociales de la Caisse des dépôts indique qu'au 3 juin 2024, 40 millions de comptes personnels de formation ont été alimentés pour un montant moyen de 2 200 euros. 7,88 millions de dossiers ont été acceptés, ce qui représente plus de 11 Md€ d’achats de formation.  Par ailleurs, grâce aux contrôles des organismes de formation au moment de l’inscription sur le service et la connexion via France Connect+ pour les usagers avant tout achat. Marianne Kermoal-Berthomé, la directrice des politiques sociales de la Caisse des dépôts, a observé une baisse de 31 % de signalements de fraude par les titulaires de compte en 2023 par rapport à 2022. S'agissant de la gestion des retraites, la Caisse des dépôts a versé 77,07 Md€ de prestations dont 34,22 Md€ pour la retraite, l’invalidité, les accidents du travail et l’indemnisation professionnelle au 31 décembre 2023. Visuel réduit: Visibilite: privéSignature: Florence MehrezSupports de diffusion: ActuEL RHPortail RH26/07/2024Cacher le visuel principal ?: NonRapport d'activité 2023 (juillet 2024) Type de produit: actuelProduit d'origine: actuEL RHAuteur extérieur: Application immédiate: 

  • Les pistes du Sénat pour mieux optimiser le FNE-Formation

    A la uneactuEL RHFormationVoilà un rapport qui ne devrait pas laisser indifférent le ou la nouvelle ministre du travail. Car le futur locataire de la rue de Grenelle devra statuer sur l’avenir du Fonds national emploi-formation (FNE-Formation). Il y urgence estiment Emmanuel Capus, rapporteur général et Ghislaine Senée, rapporteur spécial de la commission des finances pour la mission "Travail et emploi", dans un rapport publié le 16 juillet. En cause : le décret du 21 février 2024, qui a amputé de 63 % les crédits alloués aux Opco au titre du FNE-Formation par rapport aux montants conventionnés en 2023, dans le cadre des économies réalisées par la mission travail et emploi (1,1 milliards d’euros). Or, pour les sénateurs, ce budget resserré, passant de 273 millions d’euros à 96 millions, pourrait être préjudiciable au dispositif qui doit "achever sa mue". Un dispositif "transfiguré" depuis la crise sanitaire Car si le FNE-Formation était assez marginal avant 2020, il a été littéralement "transfiguré" à l’aune de la crise du Covid et de la reprise économique qui a suivi, souligne le rapport. D’une part, en préservant les compétences des salariés placés en activité partielle pendant les confinements. D’autre part, en réorientant ses ressources vers le plan de relance en 2021-2022 et le plan de réduction des tensions de recrutement en 2022. Il a ensuite poursuivi sa mutation en fléchant ses ressources financières vers les grandes "transitions", écologiques, alimentaire, agricole, numérique et les événements sportifs internationaux. Une réorientation qui inscrit le FNE-Formation dans une "logique politique de croissance durable". Avec, à son actif, un bilan quantitatif plutôt satisfaisant : le nombre d’actions de formation financées ayant été multiplié par 51,4 entre 2019 et 2020 tandis que les crédits alloués au FNE-Formation ont été multipliés par 65 en trois ans. Côté budget, le bilan paraît aussi plus "efficient" que d'autres dispositifs de formation, avec un coût de l’heure de formation revu à la baisse passant de 37 euros l'heure en 2020 à 25,5 euros en 2023. Par comparaison, "le coût unitaire du compte personnel de formation (CPF) lui est une fois et demi supérieur quant celui du dispositif Transitions collectives, dit Transco, représente au moins 32 fois celui du FNE-Formation". Des inégalités d’accès au dispositif Certes, les sénateurs ne minimisent pas les points faibles. Ils déplorent les inégalités d’accès au dispositif, notamment s’agissant des effectifs des entreprises de moins de 250 salariés qui ne représentaient en 2023 que 57,5 % des bénéficiaires contre 62,2 % en 2020. Sans oublier la "surreprésentation des catégories les plus qualifiées au détriment des travailleurs les moins qualifiés". On comptait en 2023 plus de 36 % d’ingénieurs-cadres contre seulement 4,1 % d’ouvriers non qualifiés parmi les bénéficiaires du dispositif. Ils regrettent également que près de 70 % des bénéficiaires soit âgés de 25 et 49 ans même s’ils reconnaissent que l’accès des plus de 50 ans aux formations financées via le FNE ait augmenté de 18 % à 24,8 % entre 2020 et 2023. Le FNE-Formation ne constitue pas "un gisement d'économies pour l'avenir" Il n’empêche. Considérant que "le FNE-Formation ne constitue pas un gisement d'économies pour l'avenir", les sénateurs demandent à l’Etat de maintenir a minima les crédits au niveau actuel. Ils appelent également les branches professionnelles à compléter les ressources financières du dispositif via les contributions conventionnelles. Ces financements alternatifs pourraient ainsi être orientés en priorité vers les entreprises de moins de 50 salariés. Surtout, ils préconisent un meilleur pilotage du dispositif. Notamment en ciblant les formations jugées les plus stratégiques par chaque Opco et en "modulant les taux de prise en charge des formations en fonction des priorités identifiées". A l’image d’Ocapiat (secteur agricole) qui avait introduit ce système de modulation (de l'ordre de 5 % à 10 % du taux de cofinancement public selon les formations) en faveur des salariés seniors. Rapport du SénatVisuel réduit: Visibilite: privéSignature: Anne BarietSupports de diffusion: ActuEL RHPortail RHDans un rapport publié le 16 juillet, les sénateurs demandent à l’Etat de maintenir a minima les crédits du FNE-Formation au niveau actuel tout en appelant les branches professionnelles à compléter les ressources financières du dispositif via leurs contributions conventionnelles. Ils demandent également un meilleur ciblage des formations et des publics soutenus.26/07/2024Cacher le visuel principal ?: NonType de produit: actuelProduit d'origine: actuEL RHAuteur extérieur: Application immédiate: 

  • Apprentissage : 21 % de ruptures pour les contrats d'apprentissage signés en 2022

    A la une (brève)actuEL RHFormationL'augmentation importante du nombre d'apprentis s'est accompagnée d'un nombre très significatif de ruptures de contrats, selon une étude de la Dares, publiée le 17 juillet. 21 % des contrats d’apprentissage commencés en 2022 sont rompus au cours de leurs neuf premiers mois d’exécution. Un taux plus élevé que ceux constatés pendant la crise sanitaire (17 % et 16 % pour les contrats commencés en 2019 et 2020) et avant la crise (19 % en 2017 et 2018). Cette progression est plus nette dans les formations du supérieur (18 % en 2022, soit huit points de plus qu’en 2017) que dans le secondaire (26 % en 2022, soit deux points de plus qu’en 2017). A noter également : en cinq ans, les taux de rupture à neuf mois doublent pratiquement chez les employeurs de 250 salariés ou plus alors qu’ils progressent peu chez les employeurs de moins de 50 salariés. Enfin, ce sont les secteurs peu concernés historiquement par l’apprentissage (information-communication; activités financières et assurance; administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale) qui sont le plus touchés. Mais d’autres secteurs n'échappent à ces abandons, à l’instar de l’hébergement-restauration, de la coiffure et soins de beauté ainsi que des industries alimentaires. Dares analysesVisuel réduit: Visibilite: privéSignature: Anne BarietSupports de diffusion: ActuEL RHPortail RH22/07/2024Cacher le visuel principal ?: NonType de produit: actuelProduit d'origine: actuEL RHAuteur extérieur: Application immédiate: 

  • CPF : nouvelle version des conditions d'utilisation du site et de l'application

    A la une (brève)actuEL RHFormationUne 12e version des conditions générales et particulières d'utilisation de la plateforme Mon Compte Formation est désormais applicable. Cette nouvelle version datée du mois de juillet 2024 remplace celle du mois de décembre 2023.  Ces conditions d'utilisation déterminent les engagements des titulaires d'un CPF, des organismes de formation et de la Caisse des dépôts (CDC) dans leurs relations et dans l'utilisation de la plateforme (site et application). Des précisions sur le reste à charge  Un nouvel article explique que, conformément au décret du 29 avril 2024, les titulaires d’un CPF doivent régler une participation forfaitaire obligatoire sur l’ensemble des formations présentes au catalogue dès lors qu’ils procèdent à un achat sur la plateforme. Le paiement de cette participation financière se fait par carte bancaire ou par virement. L’article précise également les cas d’exonérations de ce "reste à charge" et les modalités de remboursement en cas d’annulation de la formation. Autre ajout dans les conditions particulières d'utilisation des titulaires : en cas de réalisation partielle pour un cas de force majeure, le titulaire a cinq jours ouvrés pour justifier son absence en téléchargeant sa pièce justificative. Un contrôle des conditions d’éligibilité du permis de conduire Des précisions sur les obligations des écoles de conduite en matière de vérification des conditions d’éligibilité du permis de conduire sont ajoutées. L’école de conduite doit remettre une attestation sur l’honneur au titulaire du CPF et vérifier sa complétude. Elle doit s’assurer que le titulaire du compte n’est pas détenteur d’un permis de conduire français en cours de validité.   Si l’école de conduite constate post contractualisation avec le titulaire que ce dernier ne respecte pas les conditions d’éligibilité de mobilisation de son CPF au titre des permis du groupe léger, elle doit immédiatement interrompre la formation et en informer la CDC. ► Pour rappel, un décret du 17 mai 2024 a notamment prévu que le financement du permis de conduire avec le CPF est limité à l’obtention d’un premier permis de conduire du groupe léger.  Autre nouveauté : pour être référencés sur la plateforme Mon Compte Formation, les organismes de formation ont l'obligation de suivre un accompagnement dédié organisé par la CDC (webinaire, parcours de formation, documentation…). Les conditions particulières d’utilisation des organismes de formation sont également complétées par des dispositions relatives au respect du plafond de sous-traitance.   Visuel réduit: Visibilite: privéSignature: Florence MehrezSupports de diffusion: ActuEL RHPortail RH19/07/2024Cacher le visuel principal ?: NonType de produit: actuelProduit d'origine: actuEL RHAuteur extérieur: Application immédiate: